Une taverne qui pourrait se trouver à Paris ou à Athènes. Un chanteur grec, une chanteuse française et trois musiciens se rencontrent entre rébétiko et chanson réaliste. Un concert authentique et original au cours duquel les cultures se croisent et les esprits voyagent. A découvrir absolument.
Sur scène : Nicolas Syros chant et bouzouki, Gwenaëlle chant, Yves Beraud accordéon , Laurence Stefanidis violon, Yannis Vlachos guitare.
26, 27 et 28 Mai 2010 à 20 H 30 au Centre d’Animation Place des Fêtes. 2 rue des Lilas. Paris 19ème. Métro Place des Fêtes contact : musiquevoyage @ club-internet.fr
Prix : de 10 à 14 Euros Réservation Fnac. Fnac.com Tél : 0892 68 36 22
Vingt-cinq ans de cheminements à travers le pays des poètes, des romanciers, des historiens, des voyageurs et des conteurs, vingt-cinq ans d’écoutes attentives et très souvent émerveillées à travers celui des musiciens et des chanteurs, vingt-cinq ans d’errance et de vagabondages sur les traces de Stendhal, Victor Hugo, Pierre Loti, Maurice Barrés, André Suarès – pour ne citer qu’eux -, vingt-cinq ans de fidélité à l’œuvre et à la vie de George Sand, sans compter les mille chemins d’herbes, les mille chants d’oiseaux de la Loire et de la Creuse et, bien sûr, toutes les saveurs du terroir tourangeau et très notamment berrichon…
En somme, se promener tranquillement, sereinement et parfois même studieusement du pays de Rabelais au désert du Sinaï, de la maison ou du village de George Sand aux merveilles d’Ispahan, tout en réentendant la voix des musiciens, compositeurs, chanteurs avec lesquels nous avons grandi et rêvé, voilà ce que propose, en des livres exigeants et souvent Joliment illustrés le travail de Christian Pirot. Je dis travail mais le mot convient mal.
Bien sûr, éditer un livre implique des efforts en tous domaines mais il est aussi et avant tout, dans le cas présent, le résultat, l’estuaire d’un désir ou d’un rêve. Découvrir les écrivains par les lieux où ils vécurent, les chansons par leurs mots et pas seulement leur musique et enfin – et surtout ! – les saveurs de la gastronomie (mot si proche du mot astronomie qu’à juste titre on récompense les grands chefs avec des étoiles !), c’est nous offrir, entre autres, laTouraine dans tous ses visages inconnus, en faire un véritable continent de mots, de chants, de contes et de mémoire, et de tous les livres de son catalogue, une succession de fêtes partagées.
Jacques Lacarrière
C’était il y a quelques années, pour les éditions Christian Pirot qui fêtaient leur vingt-cinq années d’existence, Jacques écrivit ce texte.
Christian Pirot nous a quittés mais restent tous les livres qui, comme le rappelle Jacques, sont « le résultat, l’estuaire d’un désir ou d’un rêve ».
Christian fut aussi l’éditeur de Chemins faisant. Pour maintenir vivante la mémoire de Jacques, il tint à nous aider en publiant les Cahiers de l’association. Ainsi, grâce à sa générosité, Les « Cahiers Jacques Lacarrière » Naissances et Méditerranées ont pu voir le jour.
Plusieurs livres de jacques Lacarrière ont été publiés aux éditions Christian Pirot: Flâner en France, Alain-Fournier, les demeures du rêve, La Grèce de l’ombre, Un amour de Loire.
Le GRAND VENEUR Par Michel Boizot Au Théatre de l’île Saint-Louis à Paris » Un moment de grâce du festival off, Avignon 2009 » Le Point, 16/07/09″
Jamais Jacques Lacarrière n’a inventé une fable aussi libre, aussi baroque et joyeuse que celle-ci; il n’a jamais écrit un ouvrage aussi malicieux, aussi taquin, aussi fantasque soumettant son érudition à la loi de la légéreté et de la drôlerie « Gilles Lapouge Le Magazine Littéraire
Les 24 mai et 16 juin 2010 à 18h30 : Episode premier, Thoustra Les 24 mai à 21h00, 2, 3, 9 juin et 1er juillet 2010 à 18h30 : Episode second, Le Grand veneur Au Festival Off d’Avignon de cet été, ces deux Episodes seront successivement présentés à la Salle Roquille du 8 au 31 juillet à 19h.
Textes de Max-Pol Fouchet et Jacques Lacarrière avec les voix de Guilène Ferré et Sylvia Lipa-Lacarrière.
Aristide de Sirène Sous les paumes, le mirage. Sous la main, le miracle. Une Pâques de couleurs, pâquis de colories. Au bout des doigts, le monde. Sur la toile, l’Etoile. Un beethléem de lumière. Etable où se rend le Mage, enchanteur cheminant, quand le désir le prend de rendre hommage au nouveau lieu des langes. Ici, même les momies sourient dans l’Immobile, l’arbre ne craint plus ses rumeurs l’oiseau revendique le chat et le volcan, ailleurs étau de feu, est un émoi de plus parmi l’azur. J. L
Vendredi 6 août 2010, 19H 30 à L’Ame enchantée, 11 rue Saint Etienne. Vézelay 03.86.32.38.38 Editions Somogy
Bouzouki Nicolas Syros, guitare Ménélas Evgniadis musiques de Théodorakis et Hadzidakis
Lecture Sylvia Lipa-Lacarrière
Textes choisis dans L’Eté grec, Chemins d’écriture, poèmes : Icare, Aphrodite Ménologue, courts poèmes accompagnés de la musique de Hadzidakis.
Concert de rébètika “Le Blues du Pirée”
… C’est dans les ports et par la suite dans les tavernes, là où tout Grec se sent chez lui, que se pose la question même qui résonne au coeur de chaque rébètiko : la nuit de l’homme finira-t-elle un jour ?
Bordeaux : vendredi 12 mars 2010 à 22 heures, Halle des Chartrons, place du marché des Chartrons.
Trentels (Lot et Garonne) : samedi 13 mars à 19 heures, Salle des Fêtes.
Renseignements : 06 37 54 00 02
Jacques Lacarrière « Né à Limoges en 1925, grand voyageur aux yeux bleus, amoureux de la Grèce, humaniste, il a multiplié les récits de voyage, romans, poèmes, traductions, livres d’art et photographies (…). Emerveillé par la Grèce, le grec ancien et la mythologie, il découvre pour la première fois le pays en 1947, traduit Hérodote et Sophocle, et met en scène Ajax et Perséphone. » Ainsi est-il présenté par le festival de Saint-Malo Etonnants Voyageurs auquel il participa fidèlement avec sa femme, la comédienne Sylvia LIpa, jusqu’à sa mort brutale en 2005. Son amour pour la Grèce où il voyagea et vécut, l’amène à en voir la continuité et A nejamais séparer la Grèce antique de la Grèce moderne. Un survol de sa bibliographie en témoigne : L’été grec. En cheminant avec Hérodote,Promenade dans la Grecs antique, L’Odyssée hier et aujourd’hui : de Homère à Nikos Kazantzaids, Dictionnaire amoureux de la Grèce, sans oublier ses traductions de Séféris, Elytis, Ritsos, Taktsis et Vassilikos, poètes et prosateurs grecs contemporains. Dans les années 50 il découvre aussi « une Grèce qui n’a plus rien à voir avec celle de la bourgeoisie, des touristes et des hellénistes », qu’il appellera « la Grèce de l’ombre », celle des rébétika, (auxquels il consacre avec Michel Voikovitch, un ouvrage portant ce titre, en 1999).
Rencontre avec Nicolas Syros, relatée ainsi en 1993 : « J’ai connu Nicolas Syros il y a plus de quinze ans lors dn premier concert qu’il donna pour les étudiants de l’université de Jussieu. Par la suite, lorsque je conçus le spectacle intitulé « chant profond de la Grèce » donné en 1982 dans une trentaine de villes françaises, je pensai tout naturellement à lui pour assurer la partie musicale du spectacle, composée de rébétika et de chants contemporains, tâche qu’il assuma parfaitement, avec les deux partenaires de son groupe « Rebetiko tsardi ». J’ ai rencontré personnellement cette musique des rebetika il y a maintenant près de quarante ans etj’ai raconté dans mon livre L été grec tous les détails de cette rencontre et de cette longue fréquentation. .Tai entendu en Grèce et en France les principaux instrumentistes qui s’adonnent à cette musique. Je peux dira que de tous Nicolas Syros est celui qui demeure le plus fidèle à l’esprit de cette musique et qui l’interprète d’une façon tout à fait authentique (,..). »
Nicolas Syros Né à Athènes en 1955, Nicolas Syros est issu d’une famille de musiciens: son père est diplômé de violon classique du conservatoire national d’Athènes; son frère est guitariste et violoniste classique. Deux de ses oncles sont accordéonistes, un autre est guitariste. Très tôt Nicolas-Syros est attiré par le bouzouki, seul instrument traditionnel national grec, avec le baglama. Cet instrument n’étant pas enseigné dans les conservatoires, il fait son apprentissage en autodidacte auprès du célèbre Vassilis Tsitsanis, en 1968. Il rencontre alors les plus célèbres interprètes ou compositeurs de la tradition du rébétiko : Papayoannou, Mitsakis, Kéromitis, Roza Eskenazy, Costas Caflanis, Yoanna Vorqhopoulou, Odysseus Moskonas, Paskalakis, Couli Skarpèlis, Bayadèras, Costas Soukounas et Markos Vamvakaris.
Rébétiko, rébétika… Bref historique de la fin du XIXème siècle au début des années 60. Il connaît parallèlement une évolution dans tous ses aspects : du violon et du santour de l’orchestre smyrniote on passe progressivement à l’orchestre du Pirée avec le bouzouki et le baglama, la guitare et [‘accordéon ; des modes turcs on passe à une harmonisation àl’occidentale, et de l’argot et des chansons de même à la critique sociale et politique ; enfin de la prison et des « tekkédès* » on passe aux tavernes et aux boîtes de nuit. ( d’après Georges Kokkonis, musicologue) * lieu fréquenté par les fumeurs de haschich.
Ce qu’en dit Jacques Lacarrière (extraits de la présentation de La Grèce de l’onibre, Christian Pirot éditeur, 1999, à l’exception des phrases en italique) Le rébétiko et son héros : Qu’est-ce qu’un rébétiko (au pluriel: rébétika)? Un chant, un air, une musique qui furent longtemps en vogue dans le milieu des rébéfès. Ce mot, avec son synonyme mangues signifiait un marginal, un irrégulier, parfois même un irréductible vivant en dehors de la société courante, un être hors du commun, plutôt un insoumis, un rebelle, voire un anarchiste. Méprisé par la « bonne» société qui voyait en lui un dévoyé et surtout un drogué (beaucoup en effet s’adonnaient aux joies et à l’ivresse du haschich) le rébétès fréquentait et vivait au cœur de l’hypocosmos, du sous-monde, des bas-fonds.
Les « rébétès » aujourd’hui : Maintenant, le personnage ou le héros des rébétika, le nouveau rébétès si je puis dire, est davantage un laissé pour compte, un déshérité, un esseulé, un exploité, parfois aussi un exilé, un ancien émigré, ou ce qu’on nomme aujourd’hui un exclu, au cœur de notre propre société. Création vivante, le rébétiko a toujours été écho, reflet de la société qu’il refuse et en même temps qu’il incarne. Si bien que la silhouette du rébétès est devenue aujourd’hui plus proche de celle du paumé ou du S.D.F, que de celle de l’arsouille ou du drogué des origines.
Les thèmes abordés: Ils concernent au premier degré le vin, ITierbe, l’ivresse (mostowo), mais aussi et plus souvent encore la solitude, l’ennui, le désespoir, l’exil, la prison, la mort. Et aussi, puisqu’il s’agit de chansons qui sont toujours composées par des hommes, le culte de la mère, toujours appelée monoula, petite mère, la perfidie active et constante des femmes, la détresse de ceux qui sont sans cesse et trompés et trahis.
Au fil du temps des thèmes nouveaux apparaissent : l’espoir d’une issue possible, d’une évasion, d’une solution hors de l’enfer ou simplement du désespoir. Ce milieu, ce décor et ce répertoire n’ont donc pas empêché le rébétiko d’évoluer : Après la guerre, (…) il rencontra d’abord une forte résistance de la part des classes établies, puis son statut changea rapidement. Hadzidakis, célèbre compositeur, l’a revendiqué dès 1949 comme une des sources les plus vivantes et précieuses de la culture musicale grecque moderne.
Le rébétiko est aujourd’hui non une musique purement folklorique mais un des courants forts de la tradition grecque.
» Yggdrasil est le nom donné par les anciens Germains au Frêne cosmique qui reliait le ciel et la terre. Il abritait en ses racines les divinités du destin, en ses branches toute l’humanité et en son sommet le palais des dieux. « Jacques Lacarrière
Cycle 2010 « Réflexion sur la crise de l’environnement »
Célébrer le lien de l’Homme à la Nature en hommage à Jacques Lacarrière, écrivain-voyageur
Le Mardi 9 février 2010 à 19h30 Au Musée du Montparnasse 21, avenue du Maine – Paris 15ème Métro Montparnasse /sortie 2 (Même adresse que l’Espace Krajcberg)
Entrée libre
Dans « Chemin faisant, mille kilomètres à pied à travers la France d’aujourd’hui », Jacques Lacarrière écrivait en 1974 :« Je ne souhaite rien d’autre, par ce livre, que redonner à son lecteur le goût des herbes et des chemins, le besoin de musarder dans l’imprévu, de retrouver ses racines dans le grand message des horizons ».
Après une présentation de Gil Jouanard, nous musarderons poétiquement dans l’imprévu des herbes et des chemins… Avec les mots de Jacques Lacarrière dits par Sylvia Lipa-Lacarrière et ses amis, accompagnés de la musique du « Son des choses » de Yuko Hirota.
Cycle 2010 « Réflexion sur la crise de l’environnement » Musée du Montparnasse/Espace Krajcberg « Être veilleur de diversité » Synthèse de la soirée du 9 février 2010 « Célébrer le lien de l’homme à la nature en hommage à Jacques Lacarrière, écrivain-voyageur »
Une clairière nous accueille, au cœur de la forêt des « bois brûlés » de Frans Krajcberg. De là, nous cheminons en compagnie de Jacques Lacarrière, à la découverte ou à la redécouverte de son œuvre. « Chemin faisant », Jacques Lacarrière nous accompagne : la vidéo rend présentes sa silhouette, ses intonations, sa philosophie de vie ; une philosophie qu’exprime aussi Gil Jouanard, évoquant la géographie amoureuse de l’ami Jacques, son lien intime à la nature. Et la voix de Sylvia Lacarrière offre ses textes ciselés en dialogue avec le « son des choses », l’inattendu des improvisations sonores de Yuko Hirota. Les variations du « petit lexique des eaux campagnes et forêts » – tel le « C de Clairière », « clair Hier de la forêt, lorsque les arbres n’y sont plus »… – nous rappellent l’humour de Jacques Lacarrière et son écriture qui, toujours, a célébré les trois règnes et les quatre éléments. « Au début du monde » l’Eau apparut dont « les mouvements, tremblements, turbulences, sont les ultimes frissonnements, la mémoire mourante de la première Parole, celle qui donne à l’Eau son nom, sa vie, sa forme. Car étant nommée, elle devint animée (1)». L’Eau est mère des Fleuves et « le vaste monde, seuls les fleuves peuvent vous l’apprendre sur la terre et, dans le ciel, les oiseaux migrateurs. Les fleuves sont des eaux migratrices, messagères de l’universel (2) ». Une eau qui devient nuages…« Être nuage. S’alléger de ce qui est trop lourd en soi …Alors tout deviendra possible, y compris de se fondre en l’oratoire des vents, de se glisser en silence aux cloîtres du couchant (3) ». L’Eau est aussi Océan profond où l’on rencontre « des monstres inconnus…l’Inespérée et l’Inimaginable…l’Ogresse des eaux profondes, la Princesse des lueurs aux yeux nimbés de sept opales, la Louve des mers au diadème, immense calmar des profondeurs au rostre constellé comme une Pléiade engloutie… (4) » Sur terre règne l’océan des herbes « ce qu’il y a de plus banal… pendant des millions d’années la nourriture des herbivores. Elle fut- elle est toujours – la rumination du monde. Herbivores, carnivores, ruminants, digérants, nomades, sédentaires, nous sommes tous des enfants de l’herbe (5) »… Enfants de l’herbe, nous rendons hommage à Jacques Lacarrière en nommant, tour à tour, une de ces herbes qui défilent en litanie poétique – « herbe à la Vierge, herbe bénie, herbe à l’Hirondelle… » – ou en cohorte drolatique – « herbe aux teigneux, herbe aux mites, aux femmes battues ou aux hémorroïdes… ». Sur terre, règnent aussi les arbres : « Les arbres jadis furent nos parents. Ils sont aujourd’hui nos enfants. Nous dépendîmes d’eux. Aujourd’hui ce sont eux qui dépendent de nous. Nous leur devons attention et assistance. Ils ne sont pas seulement nos enfants, notre avenir de verdure. Ils sont aussi les stables et fidèles compagnons de toute notre aventure terrestre…Ils sont aussi, je l’avais oublié, un oratoire, un offertoire de lumière (6) ». Nous n’oublions pas les pierres. Elles « …ne gisent et dorment qu’en apparence… (7) » et chacun révèle la strophe lapidaire qui, tirée au sort, l’a accompagné durant la soirée. Gardons la souvenance que « Nous sommes gros de tous les paysages jamais vus » et que « Nous ne serons jamais seuls au monde tant que le monde entier sommeillera en nous (8) »….
(1) Errances, Christian Pirot éditeur (Petit lexique…) (2) Lettre (3) Un jardin pour mémoire, NIL éditions (fleuve) (4) Poème- Le Pays sous l’écorce, Seuil (l’océan) (5) Sourates, Fayard (l’herbe) (6) Dictionnaire amoureux de la mythologie, Plon (l’arbre) (7) Lapidaire, Fata Morgana (8) Un jardin pour mémoire, Nil
FRANÇOISE ARNAUD-DEMIR: DIRECTION ET CHANT MARIANNE AURICOSTE: RÉCITANTE SYLVIA LIPA-LACARRIÈRE: RÉCITANTE MAHMUT DEMIR : LUTHS SAZ, VIÈLE KEMENTCHÉ, PERCUSSIONS PHILIPPE CHAHBAZIAN : FLÛTES SHEVI ET KAVAL, DOUDOUK
Au Centre Mandapa le 21 janvier 2010 à 20h30, au centre Mandapa, 6 rue Wurtz 75013 Paris. Métro Glacière ou Corvisart 01 45 89 01 60
Au théâtre de l’île Saint-Louis Les 1er, 3 et 4 avril 2009 à 18h30
« Que fit la curiosité scientifique alliée au caprice d’un roi. » Déportée, exilée, débarquée, à Marseille, Tahara, girafe née des dunes d’Egypte vint à pied à Paris dans la liesse populaire pour être présentée au roi Charles X le 30 juin 1827.
Texte : Jeanne Gatard Musique : François Daudin Clavaud Flûte : Michel Boizot Récitants : Sylvia Lipa Lacarrière Michel Boizot
Banquet Littéraire Présenté par Jean Guiloineau Lectures de Sylvia Lipa-Lacarrière
« On ne vulgarise pas la connaissance, on la partage. On ne communique pas un savoir, comme si notre cerveau était une outre qu’il suffit de presser, on le met en commun, et, ce faisant, on le met en question. « A propos des années de travail avec Jean Vilar à Avignon (p 130 Un rêve éveillé, soixante ans de passion pour le théâtre éd. Transboréal)
Mercredi 18 novembre à 20h à la Ferme de Viry-Châtillon, face à la mairie
buffet dînatoire—gratuit sur inscription participation par un dessert ou une bouteille
renseignements—réservations Le Coq-à-l’âne 01.60.77.75.43—06 76 65 44 87